Pièce Unique

Pour ceux qui cherchent un cadeau original, une boutique évolutive qui se veut dans l'air du temps et qui mise sur l'unicité de chaque objet. Pièce unique propose de vraies trouvailles venant des quatre coins du monde pour la plupart fabriquées à la main ou dans les conditions du commerce équitable. On y trouve des sacs, doudous, laine feutrée, vaisselle, lampes céramiques, coussins, bijoux, etc.

mercredi 12 janvier 2011

Le courage politique de Monsieur R. Biren, Bourgmestre-Président d’Arlon

Il a neigé et il neigera encore, nous le redoutons tous vu le manque d’efficacité dont a fait preuve la commune d’Arlon. Ou plutôt si, elle a agit, mais bien trop tard. La cavalerie est censée arriver avant la fin du massacre ... Le coût des moyens qu’elle a débloqués est ridicule au regard des  pertes cumulées par les commerçants.
Nous n’avons plus la force de rappeler aux hommes et aux femmes politiques que tout salaire mérite travail et qu’il s’agirait d’être davantage dans l’action que dans la réaction. Surtout si cette dernière se résume à ce qu’il nous a été répondu.
Alors qu'il était encore temps d'agir, nous avions interpelé le Conseil communal sur une série d’incohérences et sur ce qu’il nous semblait être des dysfonctionnements. Le courier reçu en retour n’aborde qu’un seul de ces points : le déneigement.
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Comme un enfant au bulletin médiocre, Monsieur le Bourgmestre-Président nous informe qu’ils font ce qu’ils peuvent ... «Il fait ce qu’il peut vous savez ..., répondit la mère éplorée.». Mais si seulement vous aviez fait tout ce vous pouviez, Monsieur le Bourgmestre-Président, aucun administré ne vous en tiendrait rigueur. Alors que cette période difficile aurait pu mettre en avant votre sens de l’initiative et l’efficacité de vos services, vous avez été tout bonnement inexistant. 
La seule qui a écouté notre désarroi a été Madame A. C. Goffinet. Bien que depuis nous n’ayons pas eu de retour quant à sa visite, et qu’après tout son salaire d’échevin de commerce lui en donne l’obligation, nous pouvons au moins lui concéder ce courage.
Le dernier paragraphe du courrier de Monsieur le Bourgmestre-président frise l’insulte pour tous ceux et celles qui ont déployé toute leur énergie afin de tenter de remédier à cette situation. Nous avons déblayé nos trottoirs et ceux d’autrui. Avant d’ouvrir boutique, nous avons dégagé les places de parking que nous pouvions. Monsieur Perpète a pu le constater en s’y garant et en proférant des menaces d’un ridicule dont Molière aurait pu s’inspirer. 
Et puisque quelques photos valent mieux qu’une longue description, en voici quelques-unes qui vous rappelleront les mesquineries auxquelles vos noms sont attachées (et par la même occasion, que nous avions bel et bien dégagé nos trottoirs ...).